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| Michel Poivert Bianco Ordinario 2023
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Joerg Bader Hélène Bellenger voit jaune 2022
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Jean Chamel Sous l'oeil des choucas 2022
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Aurélie Cavanna Plaisir Solide au 3 bis f artpress revue, 1er juin 2021
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Clara Muller Plaisir Solide d'Hélène Bellenger : la pharmacopée du bonheur Revue Nez, 18 mai 2021
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“(...) L'iconographie que j'observe se déployer dans la recherche menée par Hélène Bellenger soumet à réflexion sur les images et leur facticité. Saturation, flux, logique attractive. Ces petites pilules blanches sur fond de soleils naïfs et faux, de sourires forcés/retrouvés sont pleines d'étrangeté. C'est comme une météorologie qui se déploie. Une attention est portée à la gamme chromatique de ces images, qui forme comme leur environnement et fait s'ouvrir nos yeux sur ce qu'elles suggèrent en sous-main. Les lectures que m'a partagées l'artiste permettent également de mettre à jour toute l'entreprise normative qui agit sur nos humeurs. Que cela soit par le biais des médicaments mais aussi par la manière dont on communique sur soi aujourd'hui. Et sur cette injonction au bonheur (identifiée comme « happycratie ») que l'on retrouve notamment dans un certain format d'images déversées en masse sur les réseaux sociaux. (...)”
Hélène Soumaré Extrait de l'article Plaisir Solide Revue Point Contemporain #16, 16 juin 2020
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Marine Lemaire Confinée dans un refuge L'insatiable magazine, 15 avril 2020
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Coline Olsina Hélène Bellenger : Corps artificiels The Blind magazine, 22 février 2019
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Laëtitia Toulout Hélène Bellenger, femmes clownesques The Steidz magazine, 31 février 2019
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“Le travail d'Hélène Bellenger aborde la notion du paysage d'une manière surprenante, par le prisme de sa dimension commerciale. Le paysage qui est aussi une notion personnelle devient l'occasion de procéder à une observation des nombreux, voire contradictoires énonciations, fictions et fantasmes que de tels lieux évoquent. Ces lieux, devenu des lieux communs, sont les motifs de ses oeuvres : coucher de soleil, aurores boréales, forêts ou montagnes...
Dans la lignée de Felix Gonzalez-Torres, Hélène Bellenger procède parfois à la dispersion et en même temps, semble traiter l'image comme un objet proche, intime, et ludique. C'est là une des possibilités et une des fonctions de la reproductibilité technique si l'on se réfère à Walter Benjamin, elle permet surtout de rapprocher l'oeuvre du récepteur.”
Chiara Parisi Extrait du catalogue d'exposition du 62e Salon de Montrouge, 2017
“Commencé en 2014, la série Placebo Landscape de Bellenger, récemment diplômée de l'école d'Arles, comprend des photographies de produits de consommation courante (un paquet de mouchoirs, une boîte de cotons-tiges...) dont la trivialité tranche avec l'idéalisation du paysage qui les orne. Sans titre (posters), 2016, est composé de posters de paysages commandés sur internet avec le mot-de-clé “sunset”, maintenus et roulés pour souligner leur nature et disposés de façon à évoquer l'une de ces images stéréotypées de coucher de soleil. Bellenger pointe ainsi le consumérisme paysager et sa conséquence : la déréalisation du paysage qui selon ses mots : “autonomise le motif de son référent premier .”
Etienne Hatt Extrait de l'article, GoogleEscapes, le paysage à l'ère post-photographique artpress n°440, janvier 2017
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