Isa BARBIER 

De lieu en lieu, broder le temps, Galerie Rosa Turetsky, Genève, Suisse, 2014

 
 

 
Rencontres Contemporaines, Chapelle de l'Hôpital Saint-Jean-de-Dieu, Lyon, 2014
 
 

Rencontre 2014
Plumes de goélands, oies sauvages, fil, cire
108 x 520 x 29 cm
Installation in situ
Commande des Rencontres Contemporaines pour leurs 20 ans (concert du 5 octobre 2014)

Plumes / points à la rencontre de notes / sons
Cinq lignes de câble fin, tendues au haut des chapiteaux sont la portée musicale soutenant les plumes. Sur la trame de fils prêts à scintiller dans un rayon de lumière, deux angles aigus face à face tendent l’un vers l’autre.
L’espace entre, pointe le lieu d’une possible rencontre.

 

 
Eglise anglaise de Finhaut/Suisse dans le cadre du festival "Infinitudes", 2014
 

Cheminement 2014
Plumes d’oies sauvages et goélands, fil, cire, fil carcasse galvanisé 0,3, bandes de pvc
sur la scène l’aérien : 350 x 540 x 70 x 220 cm
au sol le labyrinthe : 200 x 500 cm
© Silvano Prada

« Une œuvre composée de deux formes complémentaires : sur la scène, une succession de cadres de tailles décroissantes en pennes de goéland happe le regard jusqu’au miroir fixé sur le mur, tandis qu’horizontalement, en écho, tel un labyrinthe, un motif géométrique répété constitue un écrin rouge au double de la glace posée au sol.
Ce Cheminement à la fois gracieux et rigoureux symbolise l’espoir d’un nouveau départ. La créatrice fraie un chemin, non seulement dans l’espace, mais en nous-mêmes, en parcourant les sinuosités du monde et les nôtres plus personnelles, dans un état de réceptivité et d’alliance. »

Julia Hountou
Critique d’art et commissaire d’expositions / Docteur en Histoire de l’art

 

 
[Carré], Déchirure, Chapelle Saint-Martin de Londres/France, 8 mai – 27 octobre 2014
 

Installation in situ
Plumes de goélands, oies sauvages, fil, cire, fil carcasse galvanisé 0,3
Envergure : 270 cm
© Marc Kerignard

Dans la chapelle dédiée à Saint-Martin, l’extraordinaire puissance du carré du transept surmonté de la coupole et l’histoire du saint ont été les deux points retenus pour construire le projet.

« Cette œuvre précise et abstraite, s’inscrit comme le déplacement d’un élément du plan dans l’espace, sa sensualité apparait à mesure que l’on s’approche et que la forme s’efface. » (MC A-M)

 
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