Laurent MALONE 


De-scrivere il territorio in transformazione

Conférence, performance, événement...
Le 24/10/2006 à Rome


Séminaire international "Décrire le territoire en transformation" dans le cadre du projet campagna romana du collectif ON-Stalker.

Table ronde "Vers une image trans-urbaine : un imaginaire pour l’autre ville" avec Laurent Malone, Celeste Nicoletti, Francesco Carreri, Emilano Paoletti, Nazzareno Orlandi, Lorenzo Romito, Paolo Rosa ainsi que les écrivains, les photographes et les urbanistes de la campagna romana.

Lieu : Galleria Nazionale d’Arte Moderna
http://www.campagnaromana.net
 
 

Talking Cities - The Micropolitics of Urban Space

Exposition collective
Du 26/08/2006 au 03/12/2006 à Essen (Allemagne)


L'exposition "Talking Cities" dont les commissaires sont Francesca Ferguson et Urban Drift Production Ltd. présente des innovations internationales en terme de design, d'architecture et d'interventions spatiales. Les 35 participants créent un dialogue collectif sur la modification et la réactivation les espaces publics marginaux et résiduels de nos villes contemporaines.
"Talking Cities" est conçue comme une exposition transdisciplinaire et a lieu sur un site historique de la région industrielle de la Ruhr, la Zeche Zollverein, une ancienne usine de traitement du charbon. Faisant partie du forum international d'architecture et de design "ENTRY2006 - Perspectives and visions in Design" (http://www.entry-2006.de), cette exposition tire son inspiration de la nature transformationnelle du site lui-même et du paysage urbanisé qui l'entoure.
Laurent Malone et Francesco Careri (du groupe Stalker/ON) présentent, quant à eux, la vidéo Corviale Walk.
L'immeuble Corviale, situé à la périphérie sud-ouest de la ville de Rome, est le symbole du mouvement moderniste en Italie et parallèlement symbolise son échec à la fin des années soixante-dix. Echec dans l’illusion d’un mieux vivre, d’un mieux être, d’un mieux habiter. Deux légendes alimentent l’imaginaire du lieu. La première raconte que Corviale mesurerait un kilomètre de long, mais personne ne connaît sa dimension exacte. Et la deuxième raconte que sa surface immense couperait Rome du vent frais de la mer.
Au sein du projet «Imaginare Corviale », Laurent Malone et Francesco Careri ont décidé de s’inscrire dans ces explorations en mesurant l’espace et en vérifiant l’hypothèse de la longueur du bâtiment. Marchant côte à côte et en comptant leurs pas, les deux artistes arpentent et traversent Corviale. Le film résume les quatre tentatives de ces traversées.

Lieu : Zollverein
http://talkingcities.org
 
 

DynamiCity / tactics for a changing metropolis

Exposition collective
Du 25/03/2006 au 11/06/2006 à Rotterdam, Hollande


DynamiCity rassemble quatre groupes d'architectes : Chora (Hollande), Actar Arquitectura (Espagne), Stalker/ON (Italie) et l'atelier BOw-Wow (Japon) qui abordent une nouvelle approche et vision de l'environnement urbain.

Laurent Malone et Francesco Careri (du groupe Stalker/ON) présentent, quant à eux, la vidéo Corviale.

Corviale, situé à la périphérie sud ouest de la ville de Rome, est le symbole du mouvement moderniste en Italie et parallèlement symbolise son échec à la fin des années soixante-dix. Echec dans l’illusion d’un mieux vivre, d’un mieux être, d’un mieux habiter.
Deux légendes alimentent l’imaginaire du lieu. La première raconte que Corviale mesurerait un kilomètre de long, mais personne ne connaît sa dimension exacte. Et la deuxième raconte que sa surface immense couperait Rome du vent frais de la mer.

Face aux exigences communes des habitants de modifier l’imaginaire stéréotypé de l’édifice comme symbole d’une périphérie oubliée, le groupe Osservatorio Nomade/Stalker (groupe interdisciplinaire constitué d’artistes, architectes …) a rapidement transformé le quartier en un laboratoire permanent d’interventions artistiques, musicales et multimedia autour de rencontres avec les habitants (exploration/incursion sur le territoire).

Parmi ces laboratoires «Imaginare Corviale », Laurent Malone et Francesco Careri ont décidé de s’inscrire dans ces explorations en mesurant l’espace et en vérifiant l’hypothèse de la longueur du bâtiment.
Marchant côte à côte et en comptant leurs pas, les deux artistes arpentent et traversent Corviale. Le film résume les quatre tentatives de ces traversées.

Lieu : NAi (Nederlands Architectuurinstitut)
http://www.nai.nl
 
 

MARCHER

Exposition collective
Du 18/03/2006 au 11/06/2006 à Cajarc


Corviale 2004
vidéo
Corviale, situé à la périphérie sud ouest de la ville de Rome, est le symbole du mouvement moderniste en Italie et parallèlement symbolise son échec à la fin des années soixante-dix. Echec dans l’illusion d’un mieux vivre, d’un mieux être, d’un mieux habiter.
Deux légendes alimentent l’imaginaire du lieu. La première raconte que Corviale mesurerait un kilomètre de long, mais personne ne connaît sa dimension exacte. Et la deuxièmre raconte que sa surface immense couperait Rome du vent frais de la mer.

Face aux exigences communes des habitants de modifier l’imaginaire stéréotypé de l’édifice comme symbole d’une périphérie oubliée, le groupe Osservatorio Nomade/Stalker (groupe interdisciplinaire constitué d’artistes, architectes …) a rapidement transformé le quartier en un laboratoire permanent d’interventions artistiques, musicales et multimedia autour de rencontres avec les habitants (exploration/incursion sur le territoire).

Parmi ces laboratoires «Imaginare Corviale », Laurent Malone et Francesco Careri (du groupe Stalker) ont décidé de s’inscrire dans ces explorations en mesurant l’espace et en vérifiant l’hypothèse de la longueur du bâtiment.
Marchant côte à côte et en comptant leurs pas, les deux artistes arpentent et traversent Corviale. Le film résume les quatre tentatives de ces traversées.

Istambul, 2004
Photographies
Laurent Malone réalise un travail d'analyse et de documentation des mutations urbaines de l'espace urbain à partir de parcours dans les villes. La marche est au centre du processus photographique développé. La marche permet l'agencement libre des éléments de l'espace géométrique des villes traversées et transforme l'ordre imposé en un espace vécu.



Lieu : Maison des Arts Georges Pompidou
 
 

Napoli Presente. Posizioni e prospettive dell'arte contemporanea

Exposition collective
Du 26/11/2005 au 26/02/2006 à Naples


Walking Napoli

Chaque jour pendant 5 jours, une marche documentée est réalisée selon un processus défini la veille. Chaque jour une maquette de livre est éditée avec les images ainsi produites. Une sorte d’éloge de la lenteur et du détail. Une étude cartographiée de l’espace urbain. Traverser, marcher lentement chaque jour, définir chaque jour une nouvelle posture, une nouvelle trajectoire. Remonter les quais de la gare à contre courant à l’arrivée d’un train de banlieue qui amène les travailleurs des banlieues de Naples au centre ville et, le soir, suivre ces mêmes passagers qui regagnent leur domicile ; prendre le bus et photographier de l’arrière du bus la ville qui s’enfuit ; photographier le passage des marcheurs en un point fixe sur une trajectoire de migration quotidienne ; marcher une journée dans un micro territoire et en relever les détails. A la fin de chaque journée de traversée, un livre unique est édité au format A3 en couleur directement d’après les fichiers numériques et selon les principes de maquette mis au point pour la totalité du travail photographique de Laurent Malone.

Lieu : Palazzo delle Arti Napoli (PAN)
http://www.ena.it/scheda_news.php?xnews=48
 
 

The Gesture. A Visual Library in Progress

Exposition collective
Du 06/10/2005 au 06/01/2006 à Florence


Présentation de l'ouvrage "JFK" (Laurent Malone, Dennis Adams).
"The Gesture" est une exposition rassemblant un mélange fluide de gestes physiques, émotifs, personnels, politiques et sociaux réalisés par des artistes des années 60 à nos jours. Combinés d'une manière non linéaire, les différents "documents" sont présentés sous forme de bibliothèque visuelle, fournissant un lieu d'échange, de plaisir et de recherche, une alternative aux codes conventionnels de l'histoire de l’art visuel. L'exposition comporte des vidéos, du matériel photographique, des films, des enregistrements de performances d’art visuel "historiques" réalisées par les artistes internationaux.
"The Gesture" est une présentation critique entendant provoquer un "déplacement" physique et mental au sein duquel le public peut trouver des paradigmes de geste recoupant les frontières géographiques et culturelles.
Cette exposition a donné lieu à la réalisation d’un catalogue illustré édité par Maschietto Editore (Florence).

Commissaires : Marina Fokidis, Sergio Risaliti et Daphne Vitali.

Lieu : Quarter, Centro Produzione Arte
http://www.gestureineurope.net/exhib_info.page
 
 

M City. European cityscapes

Exposition collective
Du 01/10/2005 au 08/01/2006 à Graz (Autriche)


"The un-familiar city" : projet réalisé en collaboration avec Osservatorio Nomade / Stalker.
"The un-familiar city" est une exploration conceptuelle de l'histoire complexe et multi-facettes de Thessalonique. Après avoir été, pendant des siècles, un carrefour riche et multiculturel, la ville a entamé, au siècle dernier, un processus de réécriture de sa propre identité à la lumière de l'idée d'hellenité. Pendant les dernières décennies, peut-être influencées par l'arrivée massive d'immigrants en provenance d'Albanie et des pays de l'ex-Union Soviétique, les choses ont changé ; a commencé récemment une reconsidération des héritages multiples de la ville comme une recherche des possibilités du passé.
Ce n'est pas une coïncidence si les différentes communautés ayant habité conjointement la ville l'ont considérée comme un centre fondamental pour leur propre culture et leur civilisation.

"The un-familiar city" prévoit de mettre en scène la complexité d'une histoire ambivalente où aucun récit simple ou linéaire n'est possible. Chaque pierre est un signe double-face permettant un voyage plus lointain, et probablement sans fin, dans la ville. On ne sait pas quel coté des pierres en rotation est le recto ou le verso de la même façon que l'on ne sait pas quelle définition principale donner à la ville.
Chaque pierre est à la fois une histoire et un dispositif, indispensable pour comprendre profondément le visage contemporain de Thessalonique où les effacements, les réinterprétations et les urgences coexistent d'une manière sans précédent.
"The un-familiar city" fait partie d'un projet de recherche plus large "Egnatia. A path of Displaced Memory".

Lieu : Kunsthaus Graz
http://www.kunsthausgraz.at/