Brigitte BAUER 


VOS DEVENIRS

Conférence, performance, événement...
Le 09/04/2022 à Nîmes


Le 9 avril de 16 à 17h,
rencontre signature autour de mon dernier livre,
VOS DEVENIRS
104 portraits d'anciens étudiants de l'Esba Nîmes
Deux volumes dans un coffret
Co-édition ESBAN et éditions LOCO, Paris

Lieu : Librairie du Carré d'Art
https://brigittebauer.fr/fr_FR/actualites
 
 

Ce que nous sommes, exposition avec Emmanuelle Blanc

Exposition individuelle
Du 03/03/2022 au 17/04/2022 à Lunéville


« Chaque photographie est un lieu. Pas seulement au sens où elle représente un lieu, en porte le souvenir ou une forme de connaissance. Mais au sens où ces quatre traits à angles droits tracent un quadrilatère ouvert à tous les vents de l’expérience. On peut l’arpenter, s’y attarder ou s’en échapper.
Plus encore : la photographie a ce pouvoir singulier, lorsqu’elle décrit un lieu, d’y mêler une dimension temporelle. Ce qui se déploie alors, entre les quatre traits à angles droits, c’est donc une tranche spatio-temporelle.
Rapprochons maintenant

Lieu : Le CRI des Lumières
https://www.crideslumieres.org/diffusion/expositions/prochainement-au-cri-2-4.html
 
 

VOS DEVENIRS, signature

Conférence, performance, événement...
Le 29/01/2022 à Nîmes


A l'occasion des la Journée Portes Ouvertes de l'Esba Nîmes, présentation et signature de mon ouvrage VOS DEVENIRS à 14h à la bibliothèque.


Lieu : ESBAN
https://esba-nimes.fr/category/actualites/
 
 

VOS DEVENIRS

Catalogue individuel
Le 15/01/2022 à Paris

Texte de : Brigitte Bauer
Quels chemins prennent les étudiants d’une école d’art après leurs études ? Jetant un pont entre pratique artistique personnelle et activité d’enseignante, Brigitte Bauer a réalisé entre 2016 et 2019 des portraits photographiques d’une centaine de ses anciens étudiants. En allant les voir là où ils vivent, l’idée était de dresser le portrait intime de ces jeunes anciens étudiants. Ces portraits sont accompagnés d’un travail d’écriture singulier : à partir d’éléments de textes, de notes confiés par chacun, la photographe a entrepris la rédaction d’un texte polyphonique à la première personne.
Introduction de Christian Debize \ Postface de Christian Gattinoni
Coédition avec l’École supérieure des beaux-arts de Nîmes (@esbanimes)
2 ouvrages 17 x 24 cm réunis sous étui, brochés \ 30€


Editeur : Editions LOCO
http://editionsloco.com/rubrique292
 
 

Collect+ Spring Art Fair

Exposition collective
Du 05/03/2020 au 18/03/2020 à Chengdu, Chine


Art Fair Online avec une sélection de travaux des séries Montagne Sainte-Victoire et Fragments d'Intimité, présentés par la Brise Gallery, Chengdu

Lieu : Brise Gallery
https://mp.weixin.qq.com/s/rF_KCVNv3qTpmL-5BU16lQ?fbclid=IwAR2Y_KgK2JmFF9Zj8fhEPvq74ahEYqAirWu4HZUc1SoknuL3C2rsXvdbRA4
 
 

American clichés - tribute to Walker Evans

Catalogue individuel
Le 15/09/2019 à Arles

Texte de : Brigitte Bauer
"Aux Etats-Unis, les choses ressemblent toujours à ce qu'elles sont. Le mur de briques est purement mur de briques, le pic rocheux purement pic rocheux, le bus purement bus. Beauté par absence d'échos." Arnaud Claass, dans Mises au Point, Les Cahiers de la photographie n°20, p.38
Photographies au smartphone prises pendant un voyage entre New York et Montreal en sept.2018
Format : 20,25 x 18cm
164 pages avec 96 photographies couleur
Impression offset numérique, relié sous spirale
75 exemplaires numérotés et signés


Editeur : auto-édition
https://brigittebauer.fr/fr_FR/livre/american-cliches-tribute-to-walker-evans
 
 

Ce que nous sommes

Exposition individuelle
Du 27/06/2019 au 30/09/2019 à Lorient


Exposition avec Emmanuelle Blanc

Ce que nous sommes c’est la rencontre des travaux de deux photographes au sujet des lieux de leur enfance, des lieux qu’elles n’habitent plus aujourd’hui. Pour l’une, la Bavière, la Haute-Savoie pour l’autre. C’est la stupéfaction de constater que les images de l’une pourraient raconter les paysages de l’autre et vis versa. L’envie leur est alors venue de travailler ensemble afin de montrer ces séries conjointement pour qu’elles poursuivent le dialogue esquissé. Les points communs ne se limitent pas à la typologie des paysages et l’environnement social et économique. Si les affinités paraissent évidentes, les deux singularités restent affirmées et se rejoignent dans le questionnement des lieux de leurs origines, des lieux que ni l’une ni l’autre n’habitent plus mais qui, eux, continuent à les habiter.

Lieu : Galerie Le Lieu
http://www.galerielelieu.com/
 
 

Souvenirs d'Avenir

Exposition individuelle
Du 07/06/2019 au 26/07/2019 à Lyon


Exposition avec Marie Maurel de Maillé

Vernissage le 6 juin à partir de 18h30
Marie Maurel de Maillé et Brigitte Bauer ont fait un parcours dans la mémoire, un road movie au coeur de l’âme féminine, joué avec application comme une petite musique de chambre, scandée par les rythmes de l’intuition dans la continuité de l’ouvrage « American photographs » de Walker Evans, chaque passage, chaque image répondant à un ordre interne qui convoque aussi le mystère.
Voyage en forme d’album de vie entre mère et fille, et femme en âge de créer, paysages et rêves, voyage imaginaire croisé avec le réel où la boucle se boucle dans un éternel retour, car l’histoire n’est pas linéaire mais circulaire et en ascension comme dans la spirale galaxie.
Voyage assemblé comme un opus.
L’opus Maurel-Bauer (Gilles Verneret)

Lieu : Galerie Le Bleu du Ciel
http://www.lebleuduciel.net/
 
 

Souvenirs d'Avenir

Catalogue individuel
Le 01/06/2019 à Lyon

Texte de : Brigitte Bauer, Marie Maurel de Maillé, Gilles Verneret
Cet ouvrage accompagne l'exposition "Souvenirs d'Avenir" qui se tiendra du 7 juin au 26 juillet 2019 à Le Bleu du Ciel, Lyon
http://www.lebleuduciel.net/


Editeur : Le Bleu du Ciel
http://www.lebleuduciel.net/
 
 

Avec la mer en face / Amb el mar davant

Exposition individuelle
Du 15/06/2018 au 30/09/2018 à Tarragona, Espagne


Avec la mer en face réunit des extraits de quatre séries différentes, réalisées entre 2005 et 2016 en France et en Egypte.
Dans son poème Mer matinale, Constantin Cavafy chantait avec lyrisme la vue sur la mer par ces mots :
Ah, m’arrêter ici. A mon tour contempler un peu la nature.
D’une mer matinale et d'un ciel sans nuage
les bleus étincelants et le sable jaune ; le tout
sous une belle et vaste lumière.
Mais aujourd'hui, que ce soit d'un côté ou de l'autre de la mer Méditerranée, le ciel n'est plus sans nuages et les paysages ne peuvent plus être des paysages idéalisés. Il n'y a rien d'idyllique dans ces espaces urbains façonnés par l'homme, avec ces architectures hétérogènes s'imbriquant les unes dans les autres, et même le vieux cabanon de pêcheur laisse un sentiment d'abandon plutôt sinistre que doucement mélancolique. Devant les étendues d'eau, l'espace arrive à nouveau à se déployer avec majesté, autour des bancs en béton qui attendent les promeneurs sous un ciel lumineux, et aussi face à ce mince bandeau de plage coincé entre béton et mer, même si le jeune homme assis sur les rochers, solitaire, nous fera probablement penser au Moine au bord de mer de Caspar David Friedrich, minuscule devant l'infini. A Alexandrie, c'est surtout à travers des couples de dos que l'on aperçoit la ville : assis sur des bancs au bord de mer ou dans des jardins publics. Se créant des bulles d'intimité à l'écart de l'agitation de la ville, ils sont penchés l'un vers l'autre, un peu ou à peine, se regardent ou regardent la mer, tournant le dos au monde. Leur présence donne l'échelle et manifeste aussi la violence des transformations d'une mégalopole dont les strates successives affichent la brutalité des opérations immobilières. De l’autre côte de la mer, entre Marseille et à Port-de-Bouc mon regard s’arrête sur les jardins publics et le territoire du bord de la petite ville post-industrielle. Dans les jardins, attentive à la théâtralité naturelle et consciente de l'artificialité des espaces eux-mêmes,l’espace s'est ouvert devant moi comme un théâtre où se jouent des scènes sans cesse renouvelées. Je suis l'observatrice de ces promeneurs qui traversent ou parfois se posent, qui sont en représentation ou parfois se laissent aller, dans des attitudes stéréotypés et pourtant toujours renouvelées. La mer parfois semble border la ville comme on dit d’un lit qu’il est bordé, et même si c’est finalement l’architecture qui finit par s’imposer, je veux garder comme dernière et première image celle du petit manteau rouge accroché à un buisson, image d’absence d’un petit corps parti ailleurs.

Lieu : Fundacio Forum per la Fotografia
https://www.facebook.com/FundacioForvmPerLaFotografia/
 
 

Paysages français, une aventure photographique (1984-2017)

Exposition collective
Du 24/10/2017 au 04/02/2018 à Paris


Face à un paysage en mutation, une centaine de photographes tentent de dresser un nouveau « portrait » de la France. C’est le récit de cette aventure photographique, commencée à l’orée du XXIe siècle, que la BnF vous invite à découvrir au travers de plus de mille œuvres.

Lieu : Bibliothèque Nationale de France
http://www.bnf.fr/fr/evenements_et_culture/expositions/f.paysages_francais.html
 
 

HAUS HOF LAND

Exposition individuelle
Du 23/09/2017 au 31/10/2017 à Montpellier


Photographies de Brigitte Bauer (1987-2017)

Vernissage le samedi 23 septembre 2017 à 11h en présence de l’artiste.

Il y a trente ans, j’ai quitté mon premier pays pour venir vivre en France. Une ou deux fois par an je retourne en Bavière ou parfois ailleurs dans le pays. Les lieux de mon enfance et adolescence changent, ou changent peu, les liens avec mes proches tantôt se distendent tantôt se resserrent.

A chaque voyage, je photographie sans idée arrêtée ou projet bien précis un quotidien qui n’est plus le mien. A travers les années, dans ces basculements entre familiarité et distance, s’est installé un rapport très particulier au temps, aux lieux et aux personnes, et à l’enfance tout particulièrement.
Le titre Haus Hof Land (maison ferme pays) renvoie au jeu d’enfant Stadt Land Fluss, dont j’ai repris l’idée en proposant un abécédaire libre et incomplet de photographies qui s’assemblent et se répondent dans une infinie variété de lectures possibles.

Les photographies de Haus Hof Land ont été réalisées en Allemagne entre 1987 et 2015.

Parution du livre HAUS HOF LAND aux Editions Analogues, Arles, juillet 2017

Lieu : Maison de Heidelberg
https://maison-de-heidelberg.org/agenda/haus-hof-land/
 
 

HAUS HOF LAND

Catalogue individuel
Le 01/07/2017 à Arles

Texte de : Brigitte Bauer
Les images de Brigitte Bauer n’ont d’autre artifice que l’intention. Et un cadre dont elle a seule le secret. Il semble constamment s’en échapper des émotions, des histoires, des non-dits, des révélations et parfois l’aspiration vers un ailleurs indéfini. Après le livre D’Allemagne publié en 2003, ce nouvel ensemble de photographies inédites est proposé sous le titre de Haus Hof Land (Maison Ferme Pays). Cela pourrait sembler plus intime et plus personnel. Il n’en est rien. Au contraire. La distance croît. La pudeur se développe. Et le détachement laisse toute la place au spectateur qui peut y lire, voir découvrir, son propre parcours. Le regard tient lieu de révélation. Des images suspendues sans être immobiles, pleines de souffle et de respirations, émergent ces émotions étranges et parfois âpres que ressentent les déracinés. L’amour et l’inquiétude, le détachement et l’attachement, le regard critique et la tendresse inconditionnelle, le lien avec l’enfance qui se fait différemment, indissociable d’un lieu, d’odeurs, de saveurs, de couleurs que nous avons quittées, qui ne nous appartiennent plus mais qui ont fait ce que nous sommes. Impossible de ne pas constamment se sentir sur un fil, tiraillés entre ce qui est du passé et les choix d’avenir qui nous ont mené ailleurs, entre souvenirs impalpables mais omniprésents, lointains et proches.. Annakarin Quinto


Editeur : Analogues
http://www.analogues.fr/?p=11474
 
 

Dogwalk


Le 01/07/2017 à Marseille

Texte de : Brigitte Bauer
Opening book photo 006

Douze planches composées spécialement pour Opening book à partir de photographies issues de la série Dogwalk. « Brigitte Bauer promène son chien tous les jours le long du Rhône, dans les environs d’Arles. Elle emporte toujours avec elle son téléphone portable pour photographier son chien quand il explore le territoire. Les chiens suggèrent qu’il existe une autre manière de naviguer dans le monde, une autre manière de voir, et ramènent les humains à un temps plus ancien, un temps d’avant les nations et les frontières formelles, à une vie utopique imaginaire dont la peur serait absente. C’est peut-être d’ailleurs pour cette raison que nous avons des chiens : ils nous rappellent qu’il est possible de s’affranchir des contraintes des frontières, et de considérer le monde comme un ensemble de territoires liquides.” (Paul Wombell)


Editeur : Opening book
https://opening-book.com/book_viewer.php?id=11#wowbook/
 
 

Traverse Vidéo, 20 ans ce n'est pas rien

Conférence, performance, événement...
Le 08/03/2017 à Toulouse


Soirée d'inauguration de Traverse Vidéo :
Projection-performance de la vidéo Film Caméra accompagnée de Coline Bouton et Éléonore Marmoret qui chanteront à capella :
« Esurientes » et deux versets de l’ « Ave Maris Stella » des Vêpres à la Vierge de Monteverdi;
Quatre lettres de la Troisième Leçon de Ténèbres de Couperin Iod, Caph, Lamed et Mem;
Grégorien en canon: « O Virgo Splendens » du Livre Vermeil de Montserrat

Lieu : Espace Croix-Baragnon
http://traverse-video.org/mercredi-8-mars/
 
 

Anatomie du Paysage

Exposition collective
Du 28/01/2017 au 11/06/2017 à Arles


L'exposition Anatomie du paysage, à travers une sélection de près de 130 œuvres issues des collections du musée, illustre ainsi la diversité des regards face à l'environnement, naturel ou urbain, sauvage ou quotidien. Elle retrace la conquête perpétuelle des photographes de nouveaux modèles et souligne leur capacité à inventer des paysages.

Certains célèbrent la beauté et le mystère de paysages rendus célèbres par d'immenses artistes, comme la montagne Sainte-Victoire de Brigitte Bauer, hantée par le souvenir de Cézanne, ou les grands parcs naturels américains photographiés par Alan Ross mais sublimés avant lui par son maître Ansel Adams. D'autres ont entrepris de défricher de nouveaux territoires photographiques, tels Robert Doisneau – créateur d'une véritable esthétique de la banlieue parisienne – ou Ambroise Tézenas, dont l’œuvre offre une vision nouvelle des lieux les plus tragiques de notre histoire contemporaine.
Andy Neyrotti, commissaire de l'exposition

Lieu : Musée Réattu
http://www.museereattu.arles.fr/anatomie-du-paysage.html
 
 

Petites œuvres entre amis

Exposition collective
Du 07/12/2016 au 31/12/2016 à Arles


La galerienomade à Arles est heureuse de présenter « Petites œuvres entre amis… » avec les séries

« Fragments d’intimité » de Brigitte BAUER

« Mood Swing » de Mathilde GANANCIA

« Paysages – Tourments » de Rose LEMEUNIER

des œuvres de femmes donc, œuvres un peu complexes, un peu intimes, possédant ces qualités qu’on apprécie ensuite toute l’année : œuvres arrondies, vivantes, profondes … accompagnées d’autres glanées ça et là…

INVITATION à venir rencontrer les artistes,
et à partager un « glögg » suédois
le Samedi 17 décembre de 12h à 14h

Lieu : la galerie nomade
http://lagalerienomade.fr
 
 

Parcours de l'Art

Exposition collective
Du 01/10/2016 au 23/10/2016 à Avignon


Vernissage le 4 octobre à partir de 18h
salle Benoît XII
12, rue des Teinturiers
84000 Avgnon
Exposition ouverte du mardi au dimanche de 14h à 18h30

Pour cette 22ème édition du Parcours de l'Art, je présenterai un ensemble de photographies de la série DOGWALK ainsi que CHARO's VIDEO, réalisés dans le cadre de la mission France(s) territoire liquide.

Lieu : salle Benoît XII
http://www.parcoursdelart.com/
 
 

Microscopie du banc

Exposition collective
Du 17/09/2016 au 05/11/2016 à Houilles


Avec Brigitte Bauer, Jurgen Bey, Laure Bollinger, Belkacem Boudjellouli, Serge Bozon, Francis Cape, Julie Desprairies, Aline Gheysens, Ann Veronica Janssens, Vladimir Léon, Cécile Paris, Philippe Ramette, raumlaborberlin, Anne Rochette, Jorge Santos, Florian Viel, William Whyte, Raphaël Zarka.

Microscopie du banc s’inscrit, dans une large mesure, dans le prolongement du programme que fonde Marcel Mauss pour les sciences humaines dans Les techniques du corps . Celui-ci invite en effet ses successeurs à prêter la plus grande attention aux habitudes gestuelles dont nous peuplons nos existences.
S’asseoir sur un banc, relève de ces faits auxquels nous n’accordons généralement que peu ou pas d’importance. Pourtant, le banc est cet objet, transparent lorsqu’il est judicieusement posé, sur lequel on s’assoit pour refaire le monde, partant d’un regard qui embrasse tout, du proche au lointain.

Lieu : Centre d'Art Contemporain La Graineterie
http://lagraineterie.ville-houilles.fr/Exposition-Biennale/Expositions/Vernissage-Microscopie-du-banc
 
 

POLYPTYQUE

Exposition collective
Du 12/09/2016 au 14/10/2016 à Marseille


Initié par les Ateliers de l'Image en lien avec Art-O-Rama et Paréidolie, POLYPTYQUE est un nouveau salon expérimental qui revêtira plusieurs formes, fera appel à des galeries et servira aussi de tremplin à des artistes photographes émergents.
Pour son édition "zéro", Polyptyque rassemble 96 œuvres de 34 photographes contemporains qui ont tous fait don de leurs œuvres aux Ateliers de l'Image.

Les recettes des ventes sont intégralement reversées au fond associatif des Ateliers de l'Image et faciliteront le lancement des travaux de réhabilitation du Centre Photographique de Marseille dont l'ouverture est prévue l'an prochain.

Lieu : Les Ateliers de l'Image
http://ateliers-image.fr/newsletter/2016/11.html
 
 

Le territoire du bord

Exposition collective
Du 09/07/2016 au 09/09/2016 à Port-de-Bouc


A l'issue de la résidence au Centre d'Art Fernand Léger à Port-de-Bouc, présentation de la série "Le territoire du bord", dans le cadre de l'exposition "Et Port-de-Bouc s'est éCriée...." , avec également Gaël Bonnefon, Sophie Gouilleux, Kévin Lapeyre, Martial Verdier, Jean-Christophe Béchet et Nicole Chayne-Salini. En partenariat avec les Rencontres d'Arles.
Vernissage le 9 juillet à partir de 19h

Lieu : Halle à Marée
https://www.facebook.com/centredartsplastiquesfernandleger/?fref=ts
 
 

Dogwalk et Charo's video

Exposition individuelle
Du 10/05/2016 au 25/05/2016 à Lyon


Dans le cadre du printemps de France(s) territoire liquide à Lyon, Dogwalk et Charo's video seront présentés à la MAPRAA, 9 rue Paul Chenavard.
Vernissage le 12 mai à partir de 18h.

Brigitte Bauer promène son chien tous les jours le long du Rhône, dans les environs d’Arles. Elle emporte toujours avec elle son téléphone portable pour photographier son chien quand il explore le territoire.
Les animaux possèdent leurs propres territoires définis par les odeurs et les sons. Quand des maîtres promènent leurs chiens, ces derniers, en se laissant guider par leurs sens, interrogent nos frontières humaines plus rigides établies par la loi et les barrières. Les animaux comme les chiens mettent au défi notre interprétation du monde et de ses frontières fixes, ces frontières dont nous avons besoin pour notre sécurité. Les chiens suggèrent qu’il existe une autre manière de naviguer dans le monde, une autre manière de voir, et ramènent les humains à un temps plus ancien, un temps d’avant les nations et les frontières formelles, à une vie utopique imaginaire dont la peur serait absente. C’est peut-être d’ailleurs pour cette raison que nous avons des chiens : ils nous rappellent qu’il est possible de s’affranchir des contraintes des frontières, et de considérer le monde comme un ensemble de territoires liquides.
Paul Wombell, 2014

Lieu : MAPRAA
http://francesterritoireliquide.fr/wp/category/agenda/
 
 

In between party

Conférence, performance, événement...
Le 29/04/2016 à Marseille


Soirée apéro avec une projection des photographies d'anciens élèves de l'ENSP d'Arles sur le thème de la Méditerranée

Avec Brigitte Bauer, Hélène Canaud, Frédéric Desmesure, Edwin Fauthoux-Kresser, Christophe Glaudel, David Huguenin, Gilles Magnin

Lieu : Le Percolateur
http://www.lepercolateurphoto.net/
 
 

Dogwalk (vidéo)


Le 16/04/2016 à Paris

Texte de : Sylvain Martin
Dogwalk - portrait vidéo par Sylvain Martin

Brigitte Bauer promène son chien tous les jours le long du Rhône, dans les environs d’Arles. Elle emporte toujours avec elle son téléphone portable pour photographier son chien quand il explore le territoire. Les animaux possèdent leurs propres territoires définis par les odeurs et les sons. Quand des maîtres promènent leurs chiens, ces derniers, en se laissant guider par leurs sens, interrogent nos frontières humaines plus rigides établies par la loi et les barrières. Les animaux comme les chiens mettent au défi notre interprétation du monde et de ses frontières fixes, ces frontières dont nous avons besoin pour notre sécurité. Les chiens suggèrent qu’il existe une autre manière de naviguer dans le monde, une autre manière de voir, et ramènent les humains à un temps plus ancien, un temps d’avant les nations et les frontières formelles, à une vie utopique dont la peur serait absente. C’est peut-être d’ailleurs pour cette raison que nous avons des chiens : ils nous rappellent qu’il est possible de s’affranchir des contraintes des frontières, et de considérer le monde comme un ensemble de territoires liquides (Paul Wombell)

La chaîne France(s) territoire liquide diffuse tous les films relatifs à la mission photographique éponyme.


Editeur : Square & Martin's Production
https://www.youtube.com/watch?v=FV_R-Q1Bdok
 
 

Microscopie du banc

Exposition collective
Du 09/04/2016 au 25/06/2016 à Vélizy-Villacoublay


L'exposition Microscopie du banc s'inscrit, dans une large mesure, dans le prolongement du programme que fonde Marcel Mauss pour les sciences humaines dans Les techniques du corps. celui-ci invite en effet ses successeurs à prêter la plus grande attention aux habitudes gestuelles dont nous peuplons nos existences. Le banc, s'asseoir sur un banc, relève de ces faits auxquels nous n'accordons généralement que peu ou pas d'importance. Pourtant, le banc est cet objet, transparent lorsqu'il est judicieusement posé, sur lequel on s'assoit pour refaire le monde, partant d'un regard qui embrasse tout, du proche au lointain. C'est là qu'entre deux urgences ou tourments, immobile pour un temps, nous trouvons les conditions d'un mouvement de pensée sur nous-mêmes et sur le monde.
Commissariat : Sophie Auger-Grappin et Aline Gheyssens

Lieu : Micro Onde Centre d'Art de l'Onde
http://www.londe.fr/spectacles/15-16/article/la-poetique-du-banc
 
 

De l'un(e) à l'autre

Exposition collective
Du 27/10/2015 au 30/12/2015 à Pont-en-Royans


Vernissage le 24 octobre 2015
Avec les oeuvres de
Brigitte Bauer | Louise Bourgeois | Salma Cheddadi | Mélanie Lefebvre | Astrid Méry Sinivassin | Adrian Piper
Protéiforme, l’exposition d’automne de la Halle aborde la question de l’altérité et plus particulièrement de la dualité : certaines œuvres instaurent un rapport d’interrogation ou de dialogue direct avec le visiteur, d’autres encore questionnent les relations des individus dans la société.
Véritable réflexion sur notre être au monde, cette exposition pose un regard critique sur notre vivre ensemble à travers des œuvres récentes (Brigitte Bauer, Salma Cheddadi, Mélanie Lefebvre et Astrid Méry Sinivassin) et d’autres plus historiques (Louise Bourgeois et Adrian Piper). Autant d'oeuvres que de manières différentes d'observer la vie commune, parmi et avec les autres, une vie qui semble trouver sa dimension propre dans l'écart et la différence plutôt que dans l'unité lisse et homogène.

Lieu : Centre d'Art La Halle
http://www.lahalle-pontenroyans.org/art-actu.html

Près d'ici

Exposition collective
Du 11/10/2014 au 16/11/2014 à Jumièges


L’exposition Près d’ici interroge à sa manière la photographie sous différents angles. Ne serait-ce que dans la confrontation de deux séquences : d’une part, des travaux de Brigitte Bauer dont l’œuvre est aujourd’hui reconnue et régulièrement montrée, et d'autre part, un ensemble d’images réalisées par des photographes amateurs à l’occasion du Prix Pixels entre 2005 et 2014. Au rez-de-chaussée du Logis Abbatial, Brigitte Bauer montre des extraits de plusieurs séries. D’origine allemande, mais ayant adopté le sud à l’issue de ses études à l’école de photographie d’Arles, elle a construit une part importante de son œuvre sur les liens étroits qu’elle entretenait avec les paysages et la nature qui l’entourent ; elle les a traduits en suivant divers chemins et en variant les outils. (extrait du texte de présentation par Gabriel Bauret)


Lieu : Abbaye de Jumièges
http://www.abbayedejumieges.fr/expositions/pres-d-ici-1.html
 
 

France(s) territoire liquide

Catalogue collectif
Le 02/10/2014 à Paris

Texte de : 43 photographes du collectif We Are French
Préface par Jean-Christophe Bailly.
400 pages. 49€.
Présentation par Bernard Comment, directeur de la collection Fiction&Cie :
Quarante-trois photographes, jeunes pour la plupart, se sont autosaisis d’une mission inscrite dans une forte tradition (de la Mission héliographique en 1851 à celle de la DATAR au début des années 1980, en passant par la grande opération menée aux États-Unis par la Farm Security Administration entre 1935 et 1942), celle de dire un pays sans le figer. Les frontières deviennent incertaines, les catégories s’abolissent, la photographie rejoint la littérature dans sa capacité à décloisonner le temps et l’espace. Métaphoriser le territoire par la liquidité, c’est affirmer la possibilité de secouer les perceptions qui ont cours.

Nulle commande ici, aucune administration à l’initiative de quoi que ce soit. Pour les photographes, indépendants et cooptés, il y avait simplement le désir d’appréhender les réalités contemporaines de leur pays, de percevoir ses élans, ses lignes de fracture, ses mélanges, ses espaces naturels ou urbains, ses recoins, ses sommets, ses relais, ses évolutions, ses subtilités, ses complexités, ses habitudes, ses modes d’habitation, ses virtualités.

À chaque photographe il a été proposé d’écrire un texte et/ou d’ouvrir les coulisses de sa démarche artistique, de nous dévoiler les sentiers de sa création. Ils ont, avec leurs mots ou leurs documents, constitué une esthétique saisissante et passionnante du regard dans un double mouvement d’appartenance et de décentrement.


Editeur : Le Seuil
http://www.seuil.com/livre-9782021158991.htm
 
 

ALLER AUX JARDINS

Exposition individuelle
Du 18/05/2013 au 29/09/2013 à Gap


ALLER AUX JARDINS

Exposition individuelle

"Je perçois les jardins publics comme un immense territoire de relations sociales, d'autant qu'entre les parcs et jardins officiels, s'interposent toujours ces espaces précaires et privilégiés que sont un bout de pelouse, l'ombre d'un arbre - des espaces qui sont investis en tant que jardin.
Attentive à la théâtralité naturelle - si j'ose dire - et consciente de l'artificialité des espaces eux-mêmes, j'ai voulu être, dans un premier temps du moins, l'observatrice ; celle qui garde une certaine distance. L'espace du jardin s'est ouvert devant moi comme un théâtre où se jouent des scènes sans cesse renouvelées. D'une photographie à l'autre, nous n'avons pas tant affaire à une série qu'à un montage qui crée du mouvement entre les images. Un élément autre s'ajoute ensuite : en passant d'une photographie à l'autre l'on peut s'apercevoir de la présence d'un personnage récurrent. Avec ou sans lui, nous sommes invités à observer ces jardins, à scruter les attitudes des uns et des autres, avec une candeur empreinte parfois d'une légère ironie. Élément de fiction dans des images d'apparence plutôt documentaire, ce personnage fait le lien entre les espaces qu'il investit et traverse - du parc citadin aux espaces paysagés en bord de mer, en passant par des lieux tour à tour splendides, tristes, laids, vides ou débordants de vie."
B.Bauer
Réalisation dans le cadre d'un partenariat de production et de diffusion avec le Service Patrimoine du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, de l'association Le Factotum, Marseille et le Musée Muséum Départemental des Hautes Alpes à Gap.

Lieu : Musée-Muséum Départemental
https://www.facebook.com/MMdGap?fref=ts
 
 

Stadt in Sicht

Exposition collective
Du 20/04/2013 au 04/08/2013 à Dortmund, Allemagne


STADT IN SICHT
Oeuvres de la Collection Deutsche Bank - De Feininger à Gursky.
L'exposition présente des photographies, dessins, collages, sculptures et films de la première moitié du 20°siècle jusqu'à l'époque contemporaine.
"Im Mittelpunkt der Ausstellung steht die subjektive künstlerische Wahrnehmung von Städten und Urbanität. Durch unterschiedliche Sichtweisen eröffnen sich thematische Kapitel, die die Ausstellung strukturieren. Stadtleben, Orte und Wahrzeichen, Prozesse und Transformationen, Utopien und Visionen sind die Themen, die künstlerisch beleuchtet werden. Die Zusammenschau der Perspektiven von über 60 Künstlerinnen und Künstlern, darunter Bernd und Hilla Becher, Lyonel Feininger, Ernst-Ludwig Kirchner, Friedrich Seidenstücker, Beat Streuli, Gerhard Richter, Thomas Ruff, Thomas Struth, will keine Darstellung der Stadt in all ihren Facetten, sondern ein inspirierendes Panorama vielfältiger künstlerischer Interpretationen bieten".


Lieu : Museum am Ostwall
http://www.dortmund.de/de/freizeit_und_kultur/museen/museum_ostwall/ausstellungen_mo/vkdetail_ausstellungen.jsp?eid=234997&tid=234999
 
 

Marseille vu par 100 photographes du monde

Exposition collective
Du 18/04/2013 au 20/07/2013 à Marseille


Marseille vu par 100 photographes du monde

Commissariat : Antoine d'Agata
Durant plusieurs années, des photographes venus des quatre coins du monde ont traversé la ville méditerranéenne, pour des résidences d’artistes ou des expositions organisées par l’Atelier de visu.

Des images captées par cent d’entre eux ont été sélectionnées par le photographe Antoine d’Agata, cofondateur de l’Atelier de visu.

Elles dressent un portrait original de la ville constitué d’une pluralité de regards singuliers et montrent autant ce que les photographes en ont saisi que la relation qu’ils ont entretenue avec elle.

Au-delà de cette perception sensible et multiple de la cité phocéenne, l’ensemble des photos ainsi rassemblées dans cette exposition permet également de montrer la vitalité, la diversité, la force créatrice d’artistes qui ont choisi la photographie comme médium. Une autre manière de montrer les enjeux esthétiques du champ photographique actuel.


Lieu : Bibliothèque Départementale
http://www.biblio13.fr/biblio13/CG13/cache/bypass/pid/2?popup&containerId=3025&pageTitle=Marseille%2C+vu+par+100+photographes+du+monde
 
 

La Nuit de l'Instant

Conférence, performance, événement...
Le 12/04/2013 à Marseille


Projection de "Film Camera", 2012
le vendredi 12 et samedi 13 avril 2013.
Avec une performance musicale de Anne-Laure Carette le vendredi à 19h et à 20h30.

Plan fixe sur un paysage; un jardin? Des gens - des apparitions? traversent la scène, se rapprochent du premier plan puis repartent au loin, d'autres arrivent, ils se croisent ou pas. Un mouvement continu et silencieux vient de se mettre en place, une étrange choréographie de mouvements à la fois fluides - comme étirés, et très ralentis. L'image est granuleuse et ses couleurs denses et sourdes évoquent autant les Autochromes des Frères Lumière, premières photographies couleur, que les débuts du cinéma. Les plis bien visibles du drap blanc qui fait office d'écran improvisé nous révèlent que la scène n'est elle-même que projection.

En jouant sur la résonance entre le procédé ancien et un dispositif numérique contemporain, Film Camera propose une traversée symbolique de l'histoire du médium, et rend hommage à l'ancêtre des appareils photo (une boîte noire, un simple trou) par le biais de la technologie actuelle où l'appareil photo devient caméra à filmer.

La vidéo a été réalisée à partir de photographies numériques prises à l'intérieur d'une cabane de jardin transformée en Camera Obscura* installée dans le jardin Hortus du MDAA, Arles, en juin 2012.

Lieu : Les Ateliers de l'Image / Roll'Studio (lieu n°17)
http://www.mp2013.fr/evenements/2013/04/la-nuit-de-linstant/
 
 

TERRA NULLIUS

Exposition collective
Du 30/03/2013 au 11/05/2013 à Arpaillargues


Photographies, vidéos et installations sonores de Brigitte Bauer, Pierre Chancel, Sabrina Guichard et Audrey Guiraud.
Exposition réalisée en partenariat avec l'Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Nîmes.
"Terra nullius désigne un territoire qui n'est à personne, qui appartiendra à celui qui le prend, et cette définition et ici prise au pied de la lettre. Dans leurs photographies, vidéos et installations sonores, les quatre artistes s'emparent de territoires spécifiques mais dont la localisation géographique importe peu et, loin de toute volonté de démarche descriptive, procèdent à des actions de pliage, de mise en mouvement et de réassemblage temporel qui engendrent un ensemble de pièces à voir et à écouter." (D.G.)



Lieu : Galerie Deleuze-Rochetin
http://www.galeriedeleuzerochetin.com/
 
 

ALLER AUX JARDINS

Exposition individuelle
Du 17/01/2013 au 28/02/2013 à Marseille


"Je perçois les jardins publics comme un immense territoire de relations sociales, d'autant qu'entre les parcs et jardins officiels, s'interposent toujours ces espaces précaires et privilégiés que sont un bout de pelouse, l'ombre d'un arbre - des espaces qui sont investis en tant que jardin.
Attentive à la théâtralité naturelle - si j'ose dire - et consciente de l'artificialité des espaces eux-mêmes, j'ai voulu être, dans un premier temps du moins, l'observatrice ; celle qui garde une certaine distance. L'espace du jardin s'est ouvert devant moi comme un théâtre où se jouent des scènes sans cesse renouvelées. D'une photographie à l'autre, nous n'avons pas tant affaire à une série qu'à un montage qui crée du mouvement entre les images. Un élément autre s'ajoute ensuite : en passant d'une photographie à l'autre l'on peut s'apercevoir de la présence d'un personnage récurrent. Avec ou sans lui, nous sommes invités à observer ces jardins, à scruter les attitudes des uns et des autres, avec une candeur empreinte parfois d'une légère ironie. Élément de fiction dans des images d'apparence plutôt documentaire, ce personnage fait le lien entre les espaces qu'il investit et traverse - du parc citadin aux espaces paysagés en bord de mer, en passant par des lieux tour à tour splendides, tristes, laids, vides ou débordants de vie."
B.Bauer



Lieu : Atelier De Visu
http://www.atelierdevisu.fr
 
 

ALLER AUX JARDINS

Catalogue individuel
Le 01/06/2012 à Paris

Texte de : Brigitte Bauer, Jean Cristofol, Claire Renier, Catherine Chomarat-Ruiz
"ALLER AUX JARDINS"
Photographies de Brigitte Bauer
Préface de Jean Cristofol
Textes de Catherine Chomarat-Ruiz
Correspondance entre Brigitte Bauer et Claire Renier

Format 22x26 cm à la française
176 pages
64 images couleurs
Imprimé en quadrichromie
 
Livre relié, dos carré
Couverture imprimée pellicullée et toilée avec impression fer à chaud
Ouvrage bilingue FR/ANG
 
ISBN : 979-10903710-40
Prix : 38 euros
 
 


Editeur : Trans Photographic Press
http://www.transphotographic.com
 
 

D'Après Nature

Exposition collective
Du 26/06/2010 au 31/10/2010 à Les Saintes-Maries de la Mer



Lieu : Château d'Avignon
http://www.cg13.fr

Un Festival c'est trop court

Conférence, performance, événement...
Le 24/04/2010 à Nice


Projectin de la vidéo "BIG GAME" à l'auditorium du MAMAC, Nice, le samedi 24 Avril 2010 à 14 heures, dans le cadre de la sélection "Courts d’Ici ».



Lieu : 10ème Festival du Court Métrage de Nice
http://www.nice-filmfest.com
 
 

TOGETHER

Exposition collective
Du 26/11/2008 au 31/12/2008 à Amman (Jordanie)


The Project “Together” in the Jordan's capital Amman was initiated by the German art consultant Eva Mueller as a contribution towards a constructive cooperation of the cultures: The diverse points of view being expressed by the artists show connections and points of agreement beyond national, religious or cultural sort and thus reveal the similarities hardly perceived at the moment and the possibility of mutual understanding. As art consultant Eva Mueller says: with the current world situation, what we need most is more thinking and acting TOGETHER.
Opening at the Jordan National Gallery of Fine Arts under the patronage of H.R.H. Princess Wijdan Al Hashemi the president of the Royal Society of Fine Arts, and in cooperation with Dr. Khalid Khreis the Director General of the Jordan National Gallery of Fine Arts, an exhibition entitled "Together" by artists from the European and Arab World, which shows artworks by 26 artists from 12 countries and is accompanied by an artist-exchange and an art-pedagogic project for traumatized refugee children.

Lieu : Jordan National Gallery of Fine Arts
http://www.nationalgallery.org
 
 

Paysages

Exposition collective
Du 25/10/2008 au 07/12/2008 à Pontmain


Exposition sur la question du paysage, avec Mireille Loup, Brigitte Bauer, Arno Rafaël Minkkinen, Béatrix Von Conta, Jeff Wall ...


Lieu : Centre d'Art Contemporain
http://www.centredartpontmain.fr

Corps de Ville, Photographie et Architecture, Biennale #2

Exposition collective
Du 14/03/2008 au 17/05/2008 à Bruxelles


Evoquer le nom mythique de la ville « d’Alexandrie » renvoie pour chacun de nous aux fastes visionnaires et éclairés d’Alexandre Le Grand, à la démesure de son génie et de sa force. Cette ville tient son pouvoir de fascination du projet de métropole de la connaissance où cet élève d’Aristote voulait concentrer à l’embouchure du Nil l’essence même d’une humanité universelle. De cet envoûtement magique qu’exerce la force de ce rêve visionnaire, Alexandrie semble avoir gardé le culte de la démesure et de l’hybridation, même si la complexité anarchique dont les photos de Brigitte Bauer témoignent atteste peu d’un monde pacifié à l’équilibre composé.
Brigitte Bauer tourne le dos aux monuments historiques pour évoquer la ville à travers le motif des personnages, la plupart en couple et vu de dos, qui semblent prendre une respiration insouciante à distance d’une densité urbaine oppressante. Par effet de contraste, leur présence fragile donne l’échelle et manifeste la puissance et la violence des transformations d’une métropole dont les strates affichent sans pudeur les effets cumulatifs et hétérogènes des opérations immobilières.
Mais plus qu’à la réalité physique de la ville, la photographe nous renvoie surtout à cette condition sociale, familiale et religieuse qui externalise les lieux de l’intime dans l’espace public. Sans romantisme pourtant, ces fragments d’intimité opposent à la tonitruante cacophonie d’une bétonisation autoritaire de fragiles instants de complicités ou de méditations solitaires qui en ressortent avec plus d’intensité encore. Marc Mawet, commissaire de la biennale

Lieu : Espace Architecture, ISACF La Cambre
http://www.lacambre-archi.be
 
 

Ess-Ma(h)LE

Exposition collective
Du 09/03/2008 au 13/04/2008 à Berlin


Unter dem Titel „Ess-MA(h)LE“ haben Ende des vergangenen Jahres die Kuratoren der Ausstellung Kurt Buchwald und Brigitte Graf zu einer Gemeinschaftsausstellung zum Thema ESSEN eingeladen. 54 international anerkannte, aber auch weniger bekannte Künstlerinnen und Künstler haben sich an dem Projekt ESS-MA(h)LE beteiligt.

Die Ausstellungsidee entstand im Zusammenhang mit einem anderen Projekt des bekannten Berliner Aktionskünstlers KURT BUCHWALD. Dieses, schon im Vorfeld, entstandene Projekt brachte Menschen aus Hohenschönhausen auf ungewöhnliche Weise zusammen und wurde aus dem Bezirkskulturfonds des Bezirksamtes Lichtenberg von Berlin, Kunst- und Kulturamt gefördert.

Aber was bringt die Menschen zusammen und vor allem zunächst: Was verbindet die Menschen in einem Neubaugebiet wie Hohenschönhausen? Was tun sie gemeinsam ohne voneinander zu wissen? Es ist das Kochen und Essen. Selbst diejenigen, die nichts zubereiten, müssen sich Gedanken machen, was, wann, wo gegessen wird.
Verzehr hat etwas mit Aktivität, Kontakt, Begegnung, kreativer Aneignung, individueller Aktion und kollektivem Handeln zu tun. Doch so mancher kocht im Hochhaus anonym vor sich hin. Der Künstler Kurt Buchwald hat versucht, diesen aufzustöbern und ihn im vergangenen Sommer nach einem Rezept zu fragen. Dann ist er mit seiner Rezeptesammelbox durchs Wohngebiet gezogen und hat die Leute auf der Straße befragt.
So konnte letztendlich „Das kleine Hohenschönhausener Kochbuch, die “Carte de Cuisine”, eines Berliner Neubaugebietes entstehen. Über 70 BürgerInnen haben sich an Buchwalds Community-Art- Projekt beteiligt. Nun endlich zur Eröffnung der Ausstellung „Ess-MA(h)LE“ sind alle eingeladen und können das Büchlein mit nach Hause nehmen

Lieu : Galerie Studio im Hochhaus
http://www.artinterwall.de
 
 

Voyages d'hiver

Exposition individuelle
Du 06/12/2007 au 31/01/2008 à Cambrai


Allemagne et photographie contemporaine
Un panorama représentatif de la création photographique des dernières 25 années outre-Rhin : un regard tantôt subjectif, tantôt documentaire, sur un territoire et une société en mutation.
Exposition de Brigitte Bauer au Musée des Beaux-Arts : séries "D'Allemagne" et "Wegweiser".

Lieu : Musée des beaux-arts
http://www.voyagesdhiver.org/epk
 
 

Le Nouveau Paysage Familial

Exposition collective
Du 01/06/2007 au 08/07/2007 à Nancy


L'intime, les sentiments et les relations humaines sont la matière de cette exposition labellisée Luxembourg et Grande Région, Capitale européenne de la Culture 2007.
Commande de l'association Surface Sensible, Nancy.

Lieu : Galeries Poirel
 
 

Fragments d'intimité

Exposition individuelle
Du 31/03/2007 au 28/04/2007 à Bordeaux


Fragments d'intimité*

Telle cette autre figure de dos, le Moine au bord de mer, de Caspar David Friedrich, le jeune homme d’Alexandrie se trouve face à une immensité. Non pas tant celle de la mer que peut-être il contemple, mais celle de la ville qui s’étale, qui ne cesse de grandir, qui envahit tout l’espace jusqu’à rendre très incertaine la frontière entre le bâti et le marin.
Vus de dos, des couples regardent la ville, ou lui tournent le dos au contraire. Des couples, partout, assis sur des bancs de la corniche de bord de mer, assis sur les bancs des jardins publics, assis là où ils peuvent. Penchés l’un vers l’autre, un peu ou à peine, ils se regardent, ou regardent la mer ou rien, tournant le dos au monde. Paradoxe apparent : le choix de l’espace public pour trouver une intimité que l’intimité familiale ne permet pas. Instants privés dans un espace qui est public. Mais la ville est présente, est partout, je l’aborde à travers le regard de ces couples, à la recherche moi aussi d’un peu de vide dans ce trop-plein. Besoin de recul pour arriver à voir la ville qui vous entoure, vous envahit. Ainsi se créent des résonances entre les couples, la ville et mon attitude envers les deux.

Il y aurait encore beaucoup à dire, sans doute, sur le statut de la femme, sur la vie des jeunes en général et les rapports de famille en particulier, et finalement aussi sur une certaine solitude urbaine, à Alexandrie ou ailleurs, dans une autre mégalopole, méditerranéenne ou encore plus lointaine, dans une autre très grande ville où certaines attitudes privées, paradoxalement, n’ont pas d’autre lieu que l’espace public.
Brigitte Bauer, février 2007

*Livre à paraître aux éditions Images en Manoeuvres, Marseille, courant 2007

Lieu : Galerie Arrêt sur l'Image (dans le cadre de la 16° édition Itinéraires des photographes voyageurs)
http://www.itiphoto.com
 
 

Fragments d'intimité

Catalogue individuel
Le 01/01/2007 à Marseille

Texte de : Brigitte BAUER
Telle cette autre figure de dos, le Moine au bord de mer, de Caspar David Friedrich, le jeune homme d’Alexandrie se trouve face à une immensité. Non pas tant celle de la mer que peut-être il contemple, mais celle de la ville qui s’étale, qui ne cesse de grandir, qui envahit tout l’espace jusqu’à rendre très incertaine la frontière entre le bâti et le marin.
Vus de dos, des couples regardent la ville, ou lui tournent le dos au contraire. Des couples, partout, assis sur des bancs de la corniche de bord de mer, assis sur les bancs des jardins publics, assis là où ils peuvent. Penchés l’un vers l’autre, un peu ou à peine, ils se regardent, ou regardent la mer ou rien, tournant le dos au monde. Paradoxe apparent : le choix de l’espace public pour trouver une intimité que l’intimité familiale ne permet pas. Instants privés dans un espace qui est public. Mais la ville est présente, est partout, je l’aborde à travers le regard de ces couples, à la recherche moi aussi d’un peu de vide dans ce trop-plein. Besoin de recul pour arriver à voir la ville qui vous entoure, vous envahit. Ainsi se créent des résonances entre les couples, la ville et mon attitude envers les deux.

Il y aurait encore beaucoup à dire, sans doute, sur le statut de la femme, sur la vie des jeunes en général et les rapports de famille en particulier, et finalement aussi sur une certaine solitude urbaine, à Alexandrie ou ailleurs, dans une autre mégalopole, méditerranéenne ou encore plus lointaine, dans une autre très grande ville où certaines attitudes privées, paradoxalement, n’ont pas d’autre lieu que l’espace public.

Brigitte Bauer, février 2007


Editeur : Images en Manoeuvres Editions
http://www.iemeditions.com

MAS DE LO QUE LOS OJOS PUEDEN VER

Exposition collective
Du 20/09/2006 au 31/12/2006 à Bogota, Colombie


"More than meets the Eye", the first Deutsch Bank exhibition consisting solely of photographs from the banks collections, will be touring seven Latin American countries for two years. The exhibition comprises approximately 200 works by 54 german artists who have crucially determined the course of photographic art since 1945, and whose oeuvre is thus of central importance to contemporary art.
After its debut in the mexican city of Monterrey in January 2006, "More than meets the eye" travels to Mexico City, Bogota, Lima, Santiago, Sao Paolo and Buenos Aires.

Lieu : Museo del Banco de la República
http://www.lablaa.org
 
 

Cézanne - Mythe et Pélerins

Exposition collective
Du 08/06/2006 au 17/09/2006 à Aix-en-Provence


Cette exposition propose quatre-vingts œuvres d’artistes d’hier et d’aujourd’hui, bouleversés par Cézanne et sa Provence. A côté d’André Masson, Pierre Tal-Coat et Francis Tailleux, on trouve ainsi Zawado, Camoin, Léo Marchutz ou Bernard Buffet (1963), peignant des Sainte-Victoire. Maurice Estève, et récemment, Robert Combas, Robert de Niro père ou Elsworth Kelly ont fait le déplacement au pays de Cézanne. Les photographes Brigitte Bauer et Nakis Panayotidis, les sculpteurs Mezzappele ou Maxime Adam-Tessier ont créé en pensant à Cézanne. Même Sir Winston Churchill a peint, en 1947, des huiles qui sont exposées ici. Enfin, trésor méconnu de la Bibliothèque Nationale, l’œuvre gravée de Cézanne est ici présentée.
Entrée libre
Production Conseil Général des Bouches-du-Rhône / Commissariat : Michel Bepoix
Galerie du Conseil Général des Bouches-du-Rhône
Contact : 04 42 93 03 67

Lieu : Galerie d'Art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône
http://www.cezanne-2006.com
 
 

Vous êtes cernés

Exposition collective
Du 15/03/2006 au 15/04/2006 à Miramas


Trois perceptions qui se rencontrent et dialoguent, évoquant l'homme par sa trace, présent dans son absence, que ce soit dans les empreintes de babouches (Christine Crozat), dans des arbres affublés des balises de sentiers en forêt (Brigitte Bauer), ou encore des paysages virtuels (Nicolas Pincemin).

Lieu : Médiathèque Intercommunale
http://www.ouestprovence.fr
 
 

Montagnes Magiques

Catalogue collectif
Le 18/01/2006 à Marseille

Texte de : Brigitte Bauer, Léo Fabrizio, Axel Hütte, Walter Niedermayr, Hanns Otte, Bernard Plossu, Margherita Spiluttini. texte par Gilles Mora
Catalogue de l'exposition "Montagnes Magiques" qui a lieu du 13 Janvier au 17 Avril à la Galerie d'Art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence.


Editeur : Images en Manoeuvres Editions
http://www.iemeditions.com
 
 

Montagnes Magiques

Exposition collective
Du 13/01/2006 au 14/04/2006 à Aix-en-Provence


Montagnes Magiques (extrait du dossier de presse)
Cette exposition réunit des photographes contemporains européens (Brigitte Bauer, Leo Fabrizio, Axel Hütte, Walter Niedermayr, Hanns Otte, Bernard Plossu, Margherita Spiluttini) dont le travail sur le thème de la montagne dégage une réflexion quand à la transformation de celle-ci : la montagne finit par éroder ou s'accaparer, en les naturalisant, les traces envahissantes, ou dégradantes, de la modernité. Son contact renvoie celui qui la fréquente à une authenticité de l'existence dont peu de lieux, à notre époque, peuvent encore se targuer. Elle est pour ces artistes, comme chez le héros de Thomas Mann, la cristallisation d'une perte de repères, tout autant que la révélation métaphorique des options fondamentales de la société contemporaine, initiée par la haute lumière décapante de l'altitude.
Gilles Mora, commissaire de l'exposition

Lieu : Galerie d'Art du Conseil Général des Bouches-du-Rhône
http://www.cg13.fr

NATURE CULTIVEE

Exposition collective
Du 04/10/2005 au 04/12/2005 à Pontault-Combault


NATURE CULTIVEE
Dans le cadre de l’année du Brésil, le Centre Photographique d’Ile-de-France invite le photographe franco-brésilien Patrick Pardini à présenter une série de photographies réalisée en Amazonie brésilienne entre 1999 et 2003 : celle-ci s’articule autour du motif végétal dans le paysage amazonien (stries de palmes et zébrures laissées par leurs ombres, encoches sur le tronc d’un arbre, dessins d’une feuille…). En résonance à cette œuvre, Nature Cultivée réunit une sélection de photographies de la collection du Fonds National d’Art Contemporain (FNAC) proposant d’autres lectures du paysage : Brigitte Bauer, Boris Becker, Jean-Marc Bustamante, Yannick Demmerle, Peter Hutchinson, Eric Poitevin, Yoshiko Seino.




Lieu : Centre Photographique d'Ile de France
http://www.cpif.net
 
 

Photographies (Wegweiser und Wolkenfelder)

Exposition individuelle
Du 25/06/2005 au 30/07/2005 à D - Cologne


Première présentation en Allemagne de ce travail récent qui a été partiellement montrée à la galerie Arena, Arles en 2004, dans les cadre des Rencontres Internationales de la Photographie.

Voici le texte du dossier de presse :
"Brigitte Bauers Serie „Wegweiser“ entstand in Jahr 2004 in Südfrankreich. Ihre Waldbilder bestechen durch eine eigentümlich intensive Farbigkeit und Habtick. Jenseits der strengen Komposition lauern romantische und mystische Assoziationen, die hinter dem Realismus der Bilder nur andeutungsweise an die Oberfläche gelangen. Ihre Arbeiten bewegen sich an der Schwelle zwischen Emotion und Dokumentation, auch wenn es ihr darum nicht geht: zu dokumentieren, abzubilden. Der geografische Ort der Aufnahmen ist fast irrelevant, eine Lokalisierung unnötig, wichtiger ist die Komposition, sind Farben, Formen und Linien.
Brigitte Bauer gibt keine Interpretation ihrer Motive vor, sie dienen als Einladung in eine Welt der Emotionen und Assoziationen. Angezogen von einem vagen, aber bekannten Gefühl wird der Betrachter aufgefordert, sich im Bild zu bewegen, Dinge wiederzuerkennen, sich zu erinnern, den Gedanken freien Lauf zu lassen - vielleicht auch einen Teil seiner Selbst zu finden, einem
virtuellen Spaziergang gleich, in dem die Bilder selbst zu Wegweisern werden.
An dieser Stelle des Eintauchens setzt auch die Symbolik des Waldes ein.
Der Wald als ein Ort der Ursprünglichkeit, des Rückzugs und der Reinigung aber auch der Verirrung und Einsamkeit, reich an Geschichten, Erinnerungen und Mythen.
Auch die »Wolkenfelder« entziehen sich jedem Versuch einer geografischen Lokalisierung, bewegen sich jenseits aller Orte. Sie sind Felder des Nichts, der Reinheit, der Ruhe, Felder einer schwerelosen Unendlichkeit.
Brigitte Bauer nähert sich ihren Motiven, umkreist ihre Vorstellungen durch eine serielle Arbeitsweise, angelehnt an Variationen eines Musikstückes, begleitet von diskreten Bezügen zur Malerei, die ihre Arbeiten wie eine transparente Schicht überziehen."
(M.K.)

Lieu : Galerie MARTIN KUDLEK
http://www.martinkudlek.de
 
 

Privé - Public

Exposition individuelle
Du 19/02/2005 au 27/03/2005 à Marseille


PRIVE – PUBLIC
Premières images d’Alexandrie, ces îlots dans la foule des rues : des couples, partout, assis sur des bancs au bord de mer, ou dans les parcs, des couples assis sur les murets de la corniche, partout, toute la journée, encore plus en fin de journée, bien sûr. Des couples jeunes, mais pas toujours. Ils sont là à deux, penchés l’un vers l’autre, un peu ou à peine. Ils se regardent, ou regardent la mer ou rien, tournant le dos au monde. Les bancs avec les couples, bulles d’intimité au milieu de l’agitation de la ville. Privé-Public.

Vues de dos, c’est à travers eux que l’on aperçoit la ville, et le voile des femmes est à la fois forme esthétique et affaire sociale et religieuse. Privé-Public.

Ces photographies ont été réalisées en Septembre 2004, dans le cadre d’une résidence d’artiste organisée par l’association ECUME, Marseille. Elles constituent une première approche, l’esquisse d’un travail à venir.

Lieu : Galerie La Tangente
http://la.tangente.free.fr
 
 

Brigitte Bauer

Exposition individuelle
Du 08/01/2005 au 12/02/2005 à Angers


Engagé depuis une dizaine d'années, le travail photographique de Brigitte Bauer sur le paysage se détache de la nombreuse production contemporaine par l'utilisation de la couleur et surtout le traitement subtil de la lumière, souvent voilée, qui adoucit les couleurs et laisse apparaître les reliefs ou les accidents de terrain en appui à la composition. ...... Brigitte Bauer mène l'expérience de la propre identité sensible et culturelle, vers ce "quelque chose que l'on porte en soi". Cette recherche irrigue l'ensemble du travail. Les photographies sont ainsi chargées d'une intensité particulière, parfois composées en écho à une tradition picturale jusqu'à la citation explicite. L'exposition propose d'explorer ce versant du travail, à travers des extraits des séries "Crau", "Montagne Sainte-Victoire", "D'Allemagne" et la plus récente des "Wegweiser".

Lieu : Artothèque d'Angers
http://www.nta-angers.fr