Érik SAMAKH 

Les rêves de Tijuca 2007
Zone témoin 2007
Pin Sylvestre 2008
Tronc sonore, prototype, transducteur, bande son et tronc de pin sylvestre de 5m50Vue de l'exposition Zones de bruits, VF galerie, Marseille, 2008
 
Reproducteur 2007
Diptyque, 2 x 110 x 80 cm
Digigraphie sur papier Hahnemühle collé sur Dibond
5 ex + 3 ea.
Vues de l'exposition Zones de bruits, VF galerie, Marseille, 2008
 
Broyé de branches et d’aiguilles de pin noir coupées pendant la préparation de l’exposition
 
Zone de bruit (Saumane) 2007
54 mn, vidéo en boucle
5 ex + 3 ea.
Vue de l'exposition Zones de bruits, VF galerie, Marseille, 2008

Photographies Anthony Morel

Après ses grandes expositions en France et à l’étranger à l’Abbaye de Maubuisson, au Centre International d’art et du paysage de Vassivière, au Creux de l’Enfer, au Kruithuis Museum (Pays-Bas) et enfin au Musée d’art contemporain de Santiago du Chili, Érik Samakh revient quelques dix années plus tard sur un territoire délaissé par lui, les expositions en galeries. En 1996 avec « Zone de silence » à la galerie des archives, il mettait en place les fondements d’un travail entre paysage et immatérialité. Pour sa première exposition personnelle à la VF Galerie intitulée « Zones de bruit », Erik Samakh crée donc un parallèle et récolte dans son passé. Il y introduit surtout une nouvelle dimension où Le Grand Paysage est l’acteur principal et où l’action directe et parfois violente sur une nature constituée, en somme artificielle, en est le metteur en scène.
L’exposition réunit des œuvres inédites, photographies, vidéo et installation révélatrices d’une entreprise qui dépasse le cadre même de ce qui est montré. « Zones de bruit » est l’appellation générique d’un projet qui se déploie en rhizomes et cette première étape en constitue le cadre conceptuel.
Avec « Zones de bruit », Érik Samakh propose d’ouvrir des perspectives dans le paysage en créant des inserts de bruits dans des sites, des territoires et paysages dont la qualité naturelle à priori nous paraît acquise. En déterminant des parcelles dans ces espaces de monocultures il en révèle d’abord le caractère artificiel et souvent absurde.
Extrait du communiqué de presse de la VF galerie
 
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